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Lesprix des fruits et légumes flambent. Profitant de la forte demande sur certains produits alimentaires et de la fermeture de nombreux commerces, des commerçant ont augmenté les prix à leur guise durant ces deux jours de fête. En dépit d’une situation sanitaire préoccupante, les mosquées ont fait le plein de fidèles pour la prièreÉconomie Une grande vente directe de produits à prix coûtant est organisée jeudi à Paris et en banlieue par le PCF et le syndicat paysan Modef. Semaine animée pour les fruits et légumes, et qui ne fera certainement qu'amplifier le débat sur leurs prix. Jeudi 21 août, le syndicat paysan Modef et le Parti communiste organisent, comme tous les étés depuis quatre ans, une grande vente directe 60 tonnes de produits à prix coûtant, à Paris et en banlieue, avec Marie-George Buffet en invitée vedette. L'objectif est de dénoncer les marges de la grande distribution. "Les prix sont élevés à la consommation, bas à la production, et la moitié des producteurs ont disparu en trente ans", s'enflamme Raymond Girardi, le secrétaire général du Modef. Puis vendredi et samedi, les Français découvriront des opérations de promotion devant et dans les magasins, organisées main dans la main par les producteurs – du syndicat agricole FNSEA cette fois – et les distributeurs. Pour ce faire, ils ont reçu l'aval du gouvernement, qui a autorisé ces opérations spéciales car les prix des légumes d'été, courgettes, tomates et melons principalement, sont... anormalement bas, et qu'il faut liquider ces stocks périssables ! Alors même que l'offre était importante et les prix modérés, les consommateurs ont boudé ces produits, ce qui a fait chuter les prix. Une situation qualifiée de crise par le ministère de l'agriculture. Pour ajouter à la confusion, les prix des fruits à noyaux prunes et abricots, eux, sont plus élevés que la moyenne, car la récolte est faible, à cause d'un gel tardif au printemps. Difficile pour un non-spécialiste de se forger un avis sur la réalité des prix. D'autant que les chiffres publiés par ceux qui s'évertuent à prouver que les prix sont hauts, et ceux qui tempêtent qu'ils sont bas, divergent. Dernier épisode en date, une étude réalisée par l'association Familles rurales et publiée mardi 19 août par La Croix. Elle démontre que le coût pour un couple avec deux enfants de plus de 10 ans respectant les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, soit 400 grammes de fruits et légumes par jour, s'élève cet été à 131 euros, soit 12,6 % du smic. Interfel, qui représente la filière du producteur au distributeur, lui a répondu dans un communiqué reprochant à Familles rurales des calculs peu représentatifs. Selon elle, le budget mensuel, sur l'année, s'élèverait à 72 euros. UN PRIX MOYEN AU KILO DE 1,98 EURO Cher, pas cher ? Chaque camp tranche différemment. "Certains produits sont vendus à des prix compétitifs, après, tout est question de choix personnel", explique Jérôme Bédier, le président de la Fédération du commerce et de la distribution FCD. Pour le prouver, celle-ci a mis en place un indicateur, appelé "5-1-2", pour "5 produits pour plus de 1 kilo et moins de 2 euros", soit une consommation quotidienne pour deux personnes, et démontre, exemple à l'appui, que c'est possible. Angélique Delahaye, présidente de la Fédération nationale des producteurs de légumes, une branche de la FNSEA, ajoute un dernier argument "En moyenne, les fruits et légumes, au kilo, coûtent de 2 à 3 euros. Si on compare au reste de la gamme alimentaire, ils font partie des produits les moins chers." Mais dans un contexte d'inflation des prix alimentaires sur l'année, le sujet déjà sensible est devenu explosif. Selon TNS Worldpanel, le prix au kilo moyen s'est élevé à 1,98 euro en 2007, contre 1,92 en moyenne entre 2002 et 2006. D'après les relevés de l'Insee, entre juillet 2007 et juillet 2008, les fruits ont augmenté de 20 %, aléas climatiques obligent, les légumes n'ont gagné que 1 %. Observer les indices de prix à la consommation de l'Insee permet surtout de comprendre que les prix varient énormément d'un mois sur l'autre, contrairement au reste des dépenses alimentaires, et qu'avoir des repères n'est pas aisé. Car c'est bien là la particularité du prix des fruits et légumes, être très fortement dépendant de l'offre et de la demande. Ces deux données sont elles-mêmes liées à la météo, qui influe aussi bien sur le volume de production que sur les envies de consommation, souvent décalés de surcroît. Après des années d'antagonisme entre producteurs et distributeurs, les professionnels délivrent désormais le même message il est possible d'acheter des produits bon marché, chaque semaine, en suivant l'offre et les saisons. Même si les producteurs, comme aujourd'hui ceux de melons, se demandent encore pourquoi une pièce vendue par eux 75 centimes peut se retrouver sur les étals à plus de 2 euros. "N'oublions pas les frais de conservation ou le transport. Faisons comprendre que le prix moyen au kilo n'est pas scandaleux, et arrangeons-nous pour que dans la filière, chacun gagne sa croûte", propose Mme Delahaye. Même si le Modef critique l'opération, le reste des acteurs veut jouer le jeu, en cas de crise sur certains produits, des ventes au déballage. Elles se tiendront les 22 et 23 puis les 29 et 30 août, et enfin les 8 et 9 septembre. Un outil utilisé une première fois en 2007 pour les pêches et les nectarines, et qui pourrait se généraliser grâce à une simplification de la procédure administrative. Il faut pour l'instant un accord du ministère de l'agriculture et de Bercy pour autoriser ces opérations d'urgence. L'avantage est que tout le monde peut s'y retrouver le gouvernement, car les Français, inquiets de leur pouvoir d'achat, peuvent acheter des produits bon marché ; les consommateurs, pour la même raison ; les producteurs, qui vendront un produit qui avait du mal à trouver preneur et espèrent que l'opération permette un redressement des prix, une fois les surplus écoulés. Enfin, la distribution peut y trouver son compte, car les promotions attirent les clients dans les rayons. Laetitia Clavreul Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Commeattendu, en raison de la vague de froid, les prix des légumes et des fruits commencent à augmenter, comme s’ils voulaient s’envoler. D’ailleurs, lors d’une tournée que nous avons effectuée dans les différents marchés de la capitale, notamment le marché de la Lyre et celui de Meissonier, nous avons constaté que les prix des produits de première nécessité ont connu
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Envisite à la Safex où se tient l’évènement, le Premier ministre a reconnu publiquement que les prix des fruits et légumes demeurent élevés en Algérie. Mais il a soulevé un paradoxe : en dépit d’une production « abondante », les fruits et légumes ne sont pas à la portée de tous les Algériens.
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Plusieurs spéculateurs profitant de l’afflux des citoyens sur les marchés des fruits et légumes et les produits de large consommation en raison de la propagation de la pandémie du coronavirus en Algérie, ont fait monter les prix de deux, voire trois fois plus le prix réel des produits. En effet, en plus de la panique créée par le coronavirus, les citoyens sont choqués par la flambée des prix de plusieurs produits de large consommation. Une flambée causée principalement par les spéculateurs qui voient dans la conjoncture actuelle une opportunité pour le gain facile. Aussi, les citoyens qui se ruent vers les centres commerciaux, créent des pénuries qui engendrent des hausses dans les prix. Et ce, juste après l’annonce par le gouvernement des mesures préventives contre la propagation du virus Covid-19. Comme on peut le constater sur les plus grands marchés de gros, plusieurs fruits et légumes ont vu leur prix doubler, voire tripler comparativement à la vielle. D'autres ont connu une augmentation de 20 à 50 dinars sur le marché de détail, notamment les produits les plus prisés comme la pomme de terre, qui est passée de 35 dinars sur les marchés de gros pour atteindre 75 dinars le kilogramme. La spéculation des uns et la ruée des autres A noter que le prix d'un kilogramme de poivron a atteint 150 dinars le kilogramme au prix de gros, alors qu'il ne dépassait pas les 100 dinars deux jours auparavant. C'est le même topo avec différents légumes comme la carotte qui a atteint les 50 dinars, la courgette dont le prix de gros affiche 60 dinars. Il faut dire aussi que même les légumes secs ont connu la flambée, enregistrant des hausses variant entre 10 et 30 dinars pour chaque kilogramme. Par ailleurs, l'Association pour la protection et l'orientation du consommateur et son environnement APOCE a mis en garde les vendeurs contre la spéculation des prix des produits de large consommation et des denrées alimentaires. Son président, Mustapha Zebdi, a appelé à des sanctions sévères contre tous ceux spéculent sur les prix en Algérie. Il a par ailleurs invité les consommateurs à ne pas créer la pénurie en gardant leur calme et en faisant leurs courses comme à leurs habitudes. Lire aussi Alerte Tebboune annonce de nouvelles mesures contre le Coronavirus
Du12 au 18 novembre 2017, en Algérie, les prix de la pomme de terre, l'oignon sec, la courgette et la datte au niveau des marchés de détails et Le défi pour le gouvernement est de permettre au citoyen de passer un Ramadhan sans qu’il soit dépouillé de son des chiffres dont se gargarisent nombre de responsables du secteur sensible qu’est celui de la consommation, qu’en est-il réellement sur le terrain, sur la hausse des prix constatée sur les marchés, pour le citoyen lambda qui se démène pour finir» décemment le mois? Qu’en est-il aussi à quelques semaines du Ramadhan qui se caractérise par une consommation effrénée de produits alimentaires comme prélude» aux dépenses qui l’attendent pour la fête de l’Aïd El Fitr?L’Office national des statistiques ONS atteste que l’évolution des prix à la consommation, en rythme annuel, a été de 4,6% jusqu’à mars 2018. Il faut savoir que l’évolution des prix à la consommation en rythme annuel est le taux d’inflation moyen annuel calculé en tenant compte des 12 mois précédents par rapport à la même période la loi de finances 2018 prévoit une inflation de 5,5%, les prix ont, quant à eux, subi diverses augmentations comme la variation des prix à la consommation en mars 2018 qui a été de 0,8% par rapport au mois précédent. En termes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont connu une hausse de 1,4% en mars 2018, comparativement à ceux de février titre d’exemple, les prix des produits agricoles frais ont curieusement enregistré, en cette période de cueillette, une hausse de 2,9%, induite par l’augmentation des prix des légumes +18,5%. A un degré moindre les prix des viandes rouges +0,4% et du poisson +1,9% ont grimpé. En revanche, certains produits agricoles» ont affiché des baisses, notamment le poulet -2,3%, les fruits -2% et la pomme de terre -1,7%. Mais, selon l’ONS, les produits agroalimentaires ont été marqués par une relative cette période printanière et grâce à la disponibilité des produits, les prix des fruits et légumes au niveau du marché de gros des Eucalyptus Alger demeureront stables durant le mois de Ramadhan, a avancé, rassurant et confiant», la semaine dernière, le directeur général de l’Etablissement de gestion des abattoirs et de la poissonnerie d’Alger, Rédha dernier, qui effectuait une visite de travail et de contrôle sur les lieux, en compagnie de membres de l’Assemblée populaire de wilaya APW, aux abattoirs de Ruisseau et auprès des grossistes des produits alimentaires de Gué de Constantine Semmar et de l’espace réservé à la construction d’un nouvel abattoir à Baraki, a précisé que le problème de la rareté ou de la cherté» des fruits et légumes ne se posera pas au niveau du marché durant le mois de Ramadhan, car il intervient en pleine saison de cueillette des fruits et de récolte de légumes. Les prix baisseront avant de se stabiliser, a-t-il commerce des fruits représente la majeure partie de l’activité du marché de gros Eucalyptus visité qui est l’un des meilleurs au niveau national en termes de gestion, de sécurité et de respect des règles d’hygiène», a indiqué Attab, assurant que ces produits seront disponibles durant le mois de Ramadhan au niveau de ce hub» d’approvisionnement qui a ouvert ses portes en 1994 sur une superficie de 6,4 un mot, selon les propos mêmes du président de la Commission économique et financière de l’APW d’Alger, Zoubir Saïdi, cette visite visait à s’enquérir des préparatifs en prévision du mois de Ramadhan afin de lutter contre la spéculation, par la sensibilisation des commerçants et autres opérateurs». Il s’est félicité du fait que les grossistes des produits alimentaires de Semmar aient été très réceptifs» à cet appel. Saïdi a regretté que les prix augmentent parfois de 120% après leur sortie du marché de gros des produits alimentaires de Gué de Constantine Semmar, en raison des dépassements de certains détaillants. Il a préconisé l’adoption de mécanismes de contrôle rigoureux des prix des produits à leur sortie du marché de gros et de leur codification, ainsi que le contrôle de la chaîne de distribution pour préserver la stabilité des prix au service du citoyen».Les responsables du commerce ont réagi à cette situation en annonçant, par la voix du coordonnateur du bureau d’Alger de l’Union générale des commerçants et artisans algériens Ugcaa, Sid Ali Boukrouche, l’ouverture comme chaque année de marchés de la rahma» pendant le mois sacré. Pour leur lancement, quatre espaces seront répartis sur les communes de Baraki, Birtouta, Rouiba et Bab Ezzouar. Ils permettront aux citoyens de se pourvoir en denrées alimentaires, fruits et légumes, viandes, volaille et fromages à des prix concurrentiels». S’agissant des viandes bovines et ovines, Merouane Kheïr, chargé de l’organisation au bureau exécutif de la viande et produits carnés de la wilaya d’Alger, a, lors de cette visite, appelé le citoyen à ne pas acheter de la viande en grande quantité durant les premiers jours du mois sacré pour éviter une augmentation des prix causée par une forte demande. Il a également indiqué que le prix de la viande de mouton est fixé en fonction de la qualité du mouton local et oscille entre 1000 et 1300 DA, alors que le prix de la viande bovine est de 1050 DA et 1100 DA, selon la qualité. Il précisera que le coût de la viande importée est de 950 Nouvelleflambée des prix des fruits en Algérie. La banane, la poire, les fraises, les figues, les pommes sont inaccessibles pour les moyennes et les petites bourses. La fraise est à 400 dinars, la banane se vend entre 700 et 1000 dinars le kilo, les raisins à plus de 280 dinars, les figues à 750 dinars sur certains marchés.Accueil > ECONOMIE > Le marché des fruits et légumes en Algérie peu mûr Les prix des fruits et légumes s’annoncent chers pendant le ramadhan en Algérie ce qui confirme encore une fois la fragilité de l’agriculture algérienne. Les prix des fruits et légumes vont connaître une hausse sensible en Algérie au cours des prochains jours. Cela n’est pas uniquement dû à la spéculation qui accompagne l’arrivée du mois sacré du ramadan, mais aussi à la fin des récoltes. Il s’agit surtout des marchés qui s’approvisionnent de la Mitidja et des régions avoisinantes. Cette annonce a été faite par les représentants de l’UGCAA Union générale des commerçants et artisans algériens. Présent à ce point de presse, le gérant d’un marché de gros dira que la fin des récoltes dans la région nord de l’Algérie va indubitablement conduire à la hausse des prix des légumes. Les fruits ne sont pas concernés, en attendant que la production des Hauts-Plateaux vienne en appoint. Il a aussi été souligné que cette situation ne concerne pas la pomme de terre. Des stocks suffisants sont disponibles », a-t-on précisé. Le conférencier a voulu lever l’ambiguïté sur les prix appliqués au niveau des marchés de gros des fruits et légumes en Algérie. Les vendeurs au détail se cachent souvent derrière cet argument pour justifier les prix qu’ils pratiquent », a-t-il été souligné. A titre d’exemple, il a été mentionné qu’au marché de gros actuellement, la courgette se vend à 35 DA, la tomate entre 15 et 20 DA, le mange-tout à 45 DA, l’oignon à 15 DA. L’orateur a rappelé que les prix sont libres. Ce n’est pas de notre faute si le commerçant décide d’une marge bénéficiaire de 200 %. Il appartient au citoyen d’adopter une conduite d’achat responsable, de manière à bouder les produits dont les prix sont démesurément augmentés, rappelle-t-on. Relancé par les journalistes sur la régulation des prix, le représentant des marchands de gros rappellera que les prix des fruits et légumes en Algérie sont libres. Il n’en demeure pas moins, qu’anciennement, le marché obéissait à une règle. Il s’agit du cœfficient de multiplication selon l’éloignement. Cet instrument définit le prix du produit chez les grossistes. Pour la marge bénéficiaire des vendeurs finaux, cette dernière était fixée à 25 % pour les légumes et à 30 % pour les fruits. Les représentants des commerçants et artisans prévoient aussi la coutumière hausse des prix durant les 3 ou 4 premiers jours du mois de ramadan, avant que la situation ne revienne à la normale. Par Mourad, le Soir d’Algérie
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