Algérie: les prix des fruits et légumes stagnent, mais ceux de la viande rouge s'envolent Algérie Focus. Monde. Tous Europe Monde. Monde. Moyen orient : Les États-Unis, Israël et six pays
Le ministre de l’Agriculture et du développement rural, Abdelhamid Hemdani, s’est exprimé, ce mardi 20 avril 2021, sur la flambée des prix des fruits et légumes ces derniers jours notamment en ce début du mois de ramadan. Lors d’une visite effectuée au niveau de points de vente de la capitale, le ministre de l’Agriculture a évoqué notamment la hausse des prix de la tomate et de la pomme de terre durant les premiers jours de ramadan dont les prix ont atteint respectivement 170 dinars/kg et 100 dinars/kg. S’agissant des prix de la tomate, Hemdani a considéré qu’il était normal que les produits hors saison soient plus chers. Ce sont des produits de serres dont le prix de production est plus important par rapport aux produits saisonniers », a-t-il argué, selon l’agence APS. Pour la flambée des prix de la pomme de terre qui a dépassé le seuil de 100 dinars, le ministre a attribué la hausse aux averses au cours de la semaine dernière, qui ont entravé les opérations de récoltes. Il a néanmoins fait constater que la hausse est due beaucoup plus aux spéculateurs qui profitent des occasions pour augmenter les prix. A ce propos, il a mis en avant les mesures entreprises par les pouvoirs publics pour lutter contre ces commerçants peu scrupuleux » affirmant que certains d’entre eux font même objet de poursuite judiciaire. Les prix devraient baisser à partir de la semaine prochaine Le ministre prévoit une baisse des prix des fruits et légumes devraient à partir de la semaine prochaine avec l’entrée sur le marché des produits de saison. Les prix devraient connaître une baisse après la récolte de la nouvelle production ce qui permettra de stabiliser le marché des produits agricoles avant la mi-ramadan », a indiqué Hemdani. D’autre part, il a souligné l’importance de la plateforme numérique , lancée récemment par son secteur pour la vente des produits agricoles directement du producteur aux consommateurs, en leur assurant des produits de qualité à des prix concurrentiels ». Ce site web contient des informations sur 300 points de ventes publics relevant du ministère et 200 points privés et exploitations agricoles disponibles à travers plusieurs wilayas du pays. Cette plate-forme permettra au citoyen de localiser, via une carte géographique, les producteurs et les points de vente les plus proches de son domicile, les information les concernant nom, téléphone, adresses ainsi que les produits disponibles sur ces marchés. Parmi ces produits commercialisés, outre les fruits et légumes, il y a également les viandes rouges et les viandes blanches congelées ainsi que le lait et les produits laitiers.
Enoutre, en prévision du mois de ramadhan, dont la nuit du doute est prévue pour le lundi 12 avril, Mohamed Kharroubi a assuré que «les préparatifs vont bon train en vue d’assurer un approvisionnement régulier des marchés nationaux en légumes, fruits, viandes rouges et blanches». A ce propos, il a affirmé que la disponibilité des produits agricoles durant le mois
Algérie – Les prix des fruits et légumes continuent leur envol, il suffit de faire un tour dans les marchés de la capitale pour se rendre compte qu’une hausse vertigineuse a touché certains produits durant les jours précédents. On vous dit tout ce mardi 13 janvier. Que ce soit dans les marchés ou dans les étals improvisés, le constat est le même pour les fruits et légumes dans la capitale de l’Algérie. La note à payer pèse de plus en plus sur le portefeuille du consommateur. Les produits les plus basiques sont touchés. Par exemple, la tomate. Celle-ci atteint les 140 DA le kilo dans les marchés d’Alger-Centre. Son prix grimpe jusqu’à 200 DA chez certains marchands aux abords des cités. Il s’agit de ce que rapporte Le Soir d’Algérie. Un marchand ambulant stipule au quotidien national que le prix de la tomate varie entre 100 et 120 DA ces derniers jours. Le coût diffère selon la qualité et les prix du marché de gros, dit-il. Les détaillants n’hésitent pas à imputer cette flambée des prix aux argumenter, ils affirment que ces derniers ne leur laissent même pas la possibilité de négocier les prix. Par conséquent, les espaces commerciaux et marchés qui étaient fréquentées par des foules compactes se retrouvent à présent déserts. Cause en est, les prix inabordables de tous les produits en fruits et est donné de la mandarine qui est cédée à 200 DA au marché de la commune de Sidi-M’hamed. Alors que les marchands ambulants la vendent à 100 DA. Les commerçants contactés par LSA n’ont pas souhaité donner de détails concernant les prix qu’ils des fruits et légumes dans la capitale tour d’horizon Les passants habitués de ces espaces commerciaux confient au même média qu’ils achètent en petites quantités. Mais la plupart ne se font pas d’illusion. Ils ne présagent aucun retour des prix à la normale. Au contraire, ils présagent le pire. Ils poussent le pessimisme jusqu’à prévoir une autre montée des prix dans les prochaines semaines. Un sexagénaire rencontré au marché de Dergana, un espace réputé pour l’abordabilité de ses prix, s’exprime. Il avance que la tomate y est cédée à 100 DA. La pomme de terre est vendue à 70 DA le kg. La mandarine aussi est beaucoup moins chère. Alors qu’elle coûte plus de 200 DA dans les marchés couverts de la capitale. Elle est affichée dans les souks improvisés de la périphérie entre 100 et 120 DA. Même son de cloche pour l’orange. Elle peut être acquise pour 80 DA le kg. Outre les fruits et légumes de large consommation, les autres produits de consommation sont à des prix qui sont hors de portée du citoyen titre d’exemple, le poulet est toujours à 450 DA le kg, voire plus. En définitive, tous les citoyens croisés aux abords des marchés s’accordent à dire que les temps sont durs pour les Algériens. Ils se plaignent ainsi que les promesses de retour des prix à la normale ne sont toujours pas concrétisées. La crainte d’une dégradation de la situation est donc palpable chez les personnes interrogées.
Prixdes fruits et légumes à Alger cette semaine (16 septembre) Chaque semaine, La Minute C vous propose un tour d’horizon des prix du marché. Du blé dur aux fruits, en passant par le prix de la pomme de terre, toutes les informations extraites directement du site de la direction du commerce de la Wilaya d’Alger vous seront révélées
Hespress Monde Les prix de légumes et de fruits comme la banane flambent en Algérie mercredi 13 avril 2022 - 0836 Il ne fait aucun doute qu’en Algérie et plus particulièrement depuis le début de ce mois sacré de Ramadan, l’inflation galopante qui persécute le consommateur algérien met en péril le pouvoir d’achat des consommateurs algériens. Aussi assiste-t-on depuis le début de Ramadan à un appel au Boycott de certains produits alimentaires. C’est ainsi que la flambée des prix de certains légumes et fruits comme, par exemple celui de la pomme de terre et la banane, a incité les Algériens à lancer une campagne de boycott, Boycottez-la et ne l’achetez pas», laissez-la noircir », ou pour la patate qu’elle reste pourrir »… sont les termes les plus usités par les Algériens ayant soulevé la campagne nationale. De nombreux internautes en Algérie partagent lesdites publications ayant généré une grande participation, et une large part de commentaires sur les réseaux sociaux. L’Algérien proteste contre l’inflation, sur les fruits et les légumes, en appelant sur la toile au boycott en particulier d’un légume et d’un fruit entre autres, emblématiques en Algérie. Le prix de la banane, oscille entre les 600 et les 700 DA le kilo 5 à 6 euros alors que sur les marchés mondiaux, le cours de la banane a même chuté. En Algérie, la banane est plus qu’un simple fruit. Elle est d’abord le symbole d’une époque, la fin des années 80 et le programme anti pénurie » du président Chadli Bendjedid qui a permis à plusieurs produits d’entrer sur le marché algérien jusque-là fermé. Ce fruit est aussi un produit de base régulateur qui grâce à son prix jusqu’ici modeste – parfois moins cher que la pomme de terre – permettait aux Algériens de manger des fruits même quand les fruits locaux de saison, comme la cerise qui dépasse les 600 DA le kilo, sont parfois inaccessibles. Pour l’année 2020 l’Algérie a importé le volume total de 301 000 tonnes de bananes, contre 241 000 tonnes en 2019, c’est un augmentation bon an mal an de 25%. L’objectif de ces manifestations sur la toile selon des associations de la protection des consommateurs en Algérie, en plus de faire face à l’envolée des prix de la plupart des fruits et légumes étant d’implanter une culture de boycott pour tous les biens de consommation dont les prix atteignent un plafond injustifié. Selon l’indice des prix à la consommation de l’organisme gouvernemental algérien chargé de la collecte des données socio-économiques et démographiques, l’Office National des Statistiques algérien ONS, les prix des biens alimentaires en une année ont subi une hausse de près de 15% tandis que les produits agricoles frais locaux ont pour leur part subi en moyenne une augmentation des prix de 17% avec mention pour la pomme de terre qui caracole à +60,3%. Les produits alimentaires industriels ont marqué aussi un relèvement de 15,3% de leurs prix avec, notamment, +34,1% pour les huiles et graisses. Les prix des produits dérivées des céréales subventionnés ont connu une hausse de 12% ceux de la volaille et des œufs ont augmenté de près de 16,5% et à un point de plus on retrouve les prix des viandes et poissons. Les fruits importés ou locaux ont augmenté de 10% avec mention pour la banane qui est passé au moins du simple au double. Pour rester dans l’import les prix du café et du thé n’ont pas été en reste et se sont envolés du quart de leurs prix en une année. Cette hausse généralisée qui témoigne d’une folle inflation fait que le couffin de la ménagère algérienne s’en ressent grave. Elle achète moins de biens et services tout en voyant son pouvoir d’achat se dérober. Ce symbole de cherté de vie en Algérie est en train d’appauvrir des pans entiers de la société algérienne. Les produits alimentaires toutes catégories confondues qui se font de plus en plus couteux touche plus de 66 % des consommateurs algériens, est-il encore dit. Algérie Banane Boycott Flambée des prix Pommes de terre Suivez les dernières actualités de Hespress sur Google News Newsletter Abonnez-vous pour recevoir les dernières nouvelles Lesprix des fruits et légumes sont montés en flèche ces derniers jours, le prix de la pomme de terre, aliment de base chez les algériens a atteint les 100 dinars, les oignons 50 dinars alors que la tomate est cédée à 60 dinars. Les petits ppois pourtant légume se saison a atteint 150 dinars te les artichauts se vendent à 50 dinars. Pendant ce temps là les Temps de lecture estimé 51 secondes Chaque semaine, La Minute C vous propose un tour d’horizon des prix du marché. Du blé dur aux fruits, en passant par le prix de la pomme de terre, toutes les informations extraites directement du site de la direction du commerce de la Wilaya d’Alger vous seront révélées et seront analysées. Semaine mouvementée sur le marché algérien. Si certains produits de première nécessité n’ont vu aucun changement, d’autres, les légumes frais et les fruits saisonniers notamment, ont observé quelques fluctuations, à l’image de la pomme de terre dont le prix de détail du kilogramme a vu sa valeur minimale augmenter de 5 DA de 60 à 65 DA, mais sa valeur maximale baisser de 10 DA de 90 à 80 DA. La tomate a, elle, vu la valeur minimale augmenter de 10 DA de 50 à 60 DA. Par ailleurs, les prix des pommes d’importation et locales sont à observer, puisque la pomme d’importation a considérablement augmenté, voyant son prix passer de 850 à 950 DA, influant ainsi sur le prix de la pomme locale qui a baissé de 120 DA de 250 à 130 DA dans ses valeurs minimales. Enfin, le prix de la viande blanche, et du poulet principalement, est à noter pour cette semaine, il a ainsi observé une chute spectaculaire de 60 DA 340 à 280 DA. Related Tagsmercuriale alger septembreprix fruits légumes algerprix fruits légumes alger septembre
Inflationdes prix : les taux des produits alimentaires en augmentation. Effectivement, les prix des produits agricoles frais ont connu une augmentation de 7,1 %. Contrairement aux œufs, qui ont baissé de 0,5 %. Autrement, le reste des produits a affiché des variations positives. À savoir, les fruits et légumes +14,7 % et +11 %
24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 1928 Marché des fruits et légumes d’Attatba Tipaza L’offre se rétrécit, les prix s’envolent Le prix du kg de tomates varie entre 70 et 90 DA au marché de gros des fruits et légumes d’Attatba. Les mandataires estiment que les raisons de la hausse des prix sont à chercher ailleurs que sur le marché de marché de gros des fruits et légumes d’Attatba, dans la wilaya de Tipaza, affichait un certain calme en cette fin de matinée de mardi. La mercuriale est affichée sur un tableau électronique. A l’intérieur, le dispositif de sécurité paraît efficace, d’autant que les caméras placées dans les multiples angles du marché permettent aux responsables de mieux surveiller les déplacements des personnes. Vendeurs et acheteurs sont informés en temps réel sur les prix des fruits et légumes. Il n’en demeure pas moins que les tractations sont de mise pour déterminer les prix et conclure les transactions. Lors de notre passage dans ce marché, le prix du kilogramme de pommes de terre locales » variait entre 25 et 36 DA ; celui de la carotte entre 15 et 25 DA ; le navet entre 10 et 20 DA ; la courgette entre 45 et 50 DA ; les choux fleurs entre 25 et 30 DA ; la salade entre 10 et 25 DA ; l’oignon sec entre 40 et 45 DA ; le poivron entre 80 et 90 DA ; l’aubergine entre 30 et 50 DA et enfin, les petits pois entre 100 et 120 des primeurs, le prix du kg de tomates varie entre 70 et 90 DA, un prix similaire à celui du citron. Au demeurant, les prix des fruits connaissent paradoxalement un niveau inhabituel. L’orange importée est ainsi vendue entre 50 et 95 DA le kg, alors que celle produite localement est cédée entre 70 et 90 DA. La clémentine a aussi pris son envol, puisque son prix oscille entre 80 et 130 DA, tandis que la poire et la pomme ne se vendent pas en dessous de 120 DA au marché de gros. Je trouve certains prix corrects comme celui de la tomate, autrement les prix des légumes sont normaux en cette période de l’année », estime le directeur général de ce marché de gros. Notre interlocuteur reconnaît toutefois que la tension est réelle au niveau du marché des fruits Interrogez les fellahs sur les raisons de cette hausse des prix de l’orange et de la clémentine », nous de la productionPar ailleurs, l’administration du marché de gros des fruits et légumes d’Attatba se soucie particulièrement de l’extension de son infrastructure pour faire face à la forte demande. D’ailleurs, elle a aménagé 48 carreaux pour les mandataires et compte créer 8 autres locaux couverts. Ce marché de gros sera doté au total de 176 locaux. Du reste, il dispose de 10 chambres froides d’un volume global de 2600 m3, mais qui ne sont pas opérationnelles depuis 3 ans. Une opération d’entretien des équipements de ces chambres froides s’avère d’ailleurs impérative. Les mandataires évitent ces chambres froides, car nous faisons en sorte que tout soit bien contrôlé. Ils craignent ainsi les inspections des produits et préfèrent aller ailleurs pour stocker leurs fruits et légumes », nous déclare le responsable de ce des raisons de la hausse des prix des fruits et légumes, un mandataire évoque surtout l’absence de contrôle. Selon lui, il y a trois problèmes majeurs qui créent ce phénomène. D’abord, la production est faible par rapport aux besoins du marché. Ensuite, il y a la prolifération des commerçants de détail qui activent dans les marchés locaux et communaux sans aucun registre du commerce et même sans identification. Enfin, il y a l’absence d’agriculteurs et de mandataires professionnels. » Et d’ajouter La montée des prix des fruits et légumes se produit à l’extérieur du marché de gros. C’est aux administrations concernées de sévir dans les marchés locaux. » En définitive, force est de souligner que le marché de gros des fruits et légumes d’Attatba demeure, depuis des semaines, confronté à une faiblesse de l’offre. La Chambre de l’agriculture de la wilaya de Tipaza a, du reste, exhorté les agriculteurs à s’organiser au sein des coopératives pour mieux défendre leurs intérêts quant à la commercialisation de leur El Watan M’HamedLe Pèlerin Published by Le Pèlerin - dans Cherchell Tipasa
Description Type : Offre. Date : 06/10/2020. Adresse : Constantine, Algérie. Nous exportations des Fruits et légumes de bonnes qualité et a des prix étudiés. N’hésitez pas a nous contacter : Téléphone: +213773486292. E-mail: larbivolcano@gmail.com.
Après avoir connu une hausse record pendant plus de deux mois, les prix des fruits et légumes viennent aujourd’hui de baisser de 30 %. De nombreux éléments peuvent être attribués à cette chute soudaine tels que la météo et le nombre de mandataires sur le marché; mais elle est due essentiellement à l’arrivée de quantités importantes des produits du sud du pays. Les prix devraient encore baisser mais les experts estiment que la régulation du marché nécessite en premier lieu la construction de marchés de proximité, la réduction du nombre des mandataires et le plafonnement des marges bénéficiaires. Les écarts de prix sont assez marqué ainsi, le prix de la tomate, qui était à 150 DA le kilo la semaine passée, a enregistré une baisse sensible, elle est cédée à 100 DA, le prix de la pomme de terre est de 60 et 70 DA. Celui de la carotte oscille entre 70 et 80 DA. Les oignons sont cédés à 40 DA, alors que le chou-fleur est proposé entre 25 et 30 DA. La courgette est à 140 DA. Mais que ce soit les experts, les commerçants et les acheteurs, tous s’accordent pour dire qu’il est nécessaire de renforcer et d’augmenter le nombre de contrôleurs pour réguler le marché. Source El Moudjahid Date de publication mer. 12 déc. 2018
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Lesprix des fruits et légumes flambent. Profitant de la forte demande sur certains produits alimentaires et de la fermeture de nombreux commerces, des commerçant ont augmenté les prix à leur guise durant ces deux jours de fête. En dépit d’une situation sanitaire préoccupante, les mosquées ont fait le plein de fidèles pour la prière
Économie Une grande vente directe de produits à prix coûtant est organisée jeudi à Paris et en banlieue par le PCF et le syndicat paysan Modef. Semaine animée pour les fruits et légumes, et qui ne fera certainement qu'amplifier le débat sur leurs prix. Jeudi 21 août, le syndicat paysan Modef et le Parti communiste organisent, comme tous les étés depuis quatre ans, une grande vente directe 60 tonnes de produits à prix coûtant, à Paris et en banlieue, avec Marie-George Buffet en invitée vedette. L'objectif est de dénoncer les marges de la grande distribution. "Les prix sont élevés à la consommation, bas à la production, et la moitié des producteurs ont disparu en trente ans", s'enflamme Raymond Girardi, le secrétaire général du Modef. Puis vendredi et samedi, les Français découvriront des opérations de promotion devant et dans les magasins, organisées main dans la main par les producteurs – du syndicat agricole FNSEA cette fois – et les distributeurs. Pour ce faire, ils ont reçu l'aval du gouvernement, qui a autorisé ces opérations spéciales car les prix des légumes d'été, courgettes, tomates et melons principalement, sont... anormalement bas, et qu'il faut liquider ces stocks périssables ! Alors même que l'offre était importante et les prix modérés, les consommateurs ont boudé ces produits, ce qui a fait chuter les prix. Une situation qualifiée de crise par le ministère de l'agriculture. Pour ajouter à la confusion, les prix des fruits à noyaux prunes et abricots, eux, sont plus élevés que la moyenne, car la récolte est faible, à cause d'un gel tardif au printemps. Difficile pour un non-spécialiste de se forger un avis sur la réalité des prix. D'autant que les chiffres publiés par ceux qui s'évertuent à prouver que les prix sont hauts, et ceux qui tempêtent qu'ils sont bas, divergent. Dernier épisode en date, une étude réalisée par l'association Familles rurales et publiée mardi 19 août par La Croix. Elle démontre que le coût pour un couple avec deux enfants de plus de 10 ans respectant les recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, soit 400 grammes de fruits et légumes par jour, s'élève cet été à 131 euros, soit 12,6 % du smic. Interfel, qui représente la filière du producteur au distributeur, lui a répondu dans un communiqué reprochant à Familles rurales des calculs peu représentatifs. Selon elle, le budget mensuel, sur l'année, s'élèverait à 72 euros. UN PRIX MOYEN AU KILO DE 1,98 EURO Cher, pas cher ? Chaque camp tranche différemment. "Certains produits sont vendus à des prix compétitifs, après, tout est question de choix personnel", explique Jérôme Bédier, le président de la Fédération du commerce et de la distribution FCD. Pour le prouver, celle-ci a mis en place un indicateur, appelé "5-1-2", pour "5 produits pour plus de 1 kilo et moins de 2 euros", soit une consommation quotidienne pour deux personnes, et démontre, exemple à l'appui, que c'est possible. Angélique Delahaye, présidente de la Fédération nationale des producteurs de légumes, une branche de la FNSEA, ajoute un dernier argument "En moyenne, les fruits et légumes, au kilo, coûtent de 2 à 3 euros. Si on compare au reste de la gamme alimentaire, ils font partie des produits les moins chers." Mais dans un contexte d'inflation des prix alimentaires sur l'année, le sujet déjà sensible est devenu explosif. Selon TNS Worldpanel, le prix au kilo moyen s'est élevé à 1,98 euro en 2007, contre 1,92 en moyenne entre 2002 et 2006. D'après les relevés de l'Insee, entre juillet 2007 et juillet 2008, les fruits ont augmenté de 20 %, aléas climatiques obligent, les légumes n'ont gagné que 1 %. Observer les indices de prix à la consommation de l'Insee permet surtout de comprendre que les prix varient énormément d'un mois sur l'autre, contrairement au reste des dépenses alimentaires, et qu'avoir des repères n'est pas aisé. Car c'est bien là la particularité du prix des fruits et légumes, être très fortement dépendant de l'offre et de la demande. Ces deux données sont elles-mêmes liées à la météo, qui influe aussi bien sur le volume de production que sur les envies de consommation, souvent décalés de surcroît. Après des années d'antagonisme entre producteurs et distributeurs, les professionnels délivrent désormais le même message il est possible d'acheter des produits bon marché, chaque semaine, en suivant l'offre et les saisons. Même si les producteurs, comme aujourd'hui ceux de melons, se demandent encore pourquoi une pièce vendue par eux 75 centimes peut se retrouver sur les étals à plus de 2 euros. "N'oublions pas les frais de conservation ou le transport. Faisons comprendre que le prix moyen au kilo n'est pas scandaleux, et arrangeons-nous pour que dans la filière, chacun gagne sa croûte", propose Mme Delahaye. Même si le Modef critique l'opération, le reste des acteurs veut jouer le jeu, en cas de crise sur certains produits, des ventes au déballage. Elles se tiendront les 22 et 23 puis les 29 et 30 août, et enfin les 8 et 9 septembre. Un outil utilisé une première fois en 2007 pour les pêches et les nectarines, et qui pourrait se généraliser grâce à une simplification de la procédure administrative. Il faut pour l'instant un accord du ministère de l'agriculture et de Bercy pour autoriser ces opérations d'urgence. L'avantage est que tout le monde peut s'y retrouver le gouvernement, car les Français, inquiets de leur pouvoir d'achat, peuvent acheter des produits bon marché ; les consommateurs, pour la même raison ; les producteurs, qui vendront un produit qui avait du mal à trouver preneur et espèrent que l'opération permette un redressement des prix, une fois les surplus écoulés. Enfin, la distribution peut y trouver son compte, car les promotions attirent les clients dans les rayons. Laetitia Clavreul Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Commeattendu, en raison de la vague de froid, les prix des légumes et des fruits commencent à augmenter, comme s’ils voulaient s’envoler. D’ailleurs, lors d’une tournée que nous avons effectuée dans les différents marchés de la capitale, notamment le marché de la Lyre et celui de Meissonier, nous avons constaté que les prix des produits de première nécessité ont connu
Les prix des viandes, des fruits et légumes ont, dans l’ensemble, enregistré une importante » hausse durant les deux premiers jours du mois de Ramadhan, a-t-on constaté dans certains marchés de la ce soit au niveau du marché d’El Harrach, de Kouba ou celui d’El-Afia sur les hauteurs du Plateau des Annassers le constat est le même le Ramadhan de cette année ne déroge pas à la règle en matière de hausse des prix des années Kouba, plus exactement à Ben Omar au marché dit ’’des arcades’’, l’accès aux sept boucheries au premier jour du mois de Ramadhan était quasiment impossible. On dirait qu’on offre la viande gratuitement », lance une ménagère qui tente de se frayer un chemin dans la foule dans l’une des boucheries. Entre DA et DA le kg de viande ovine, et 750 DA, 850 DA la viande bovine, les prix des viandes varient d’une boucherie à l’autre parfois sans quelques encablures de Kouba, aux marchés de Bachdjarrah et d’El Harrach, l’affluence au deuxième jour était bien timide mais les prix de la viande ne reflétaient pas la réputation de ces deux marchés populaires. La viande ovine est cédée entre DA et DA et 750 DA à 850 DA la viande de faire face à la cherté de ces prix, beaucoup de consommateurs se sont rabattus sur la viande congelée et celle du poulet ou de la dinde. La viande bovine congelée revient à la moitié de la viande fraîche, le kilogramme étant cédé à quelque 600 DA/kg pour le le poulet, le kg est vendu entre 350 et 400 DA, soit presque le double de son prix à la veille du mois de tonnes de viandes rouges et blanches congelées ont été importées récemment par différents opérateurs publics et privés, alors que le ministère de l’agriculture avait autorisé, rappelle t-on, l’importation de la viande à ces mesures, il y a eu galement la constitution d’un stock de viandes blanches congelées estimé à tonnes dans le cadre du Système de régulation des produits agricoles de large aux prix des viandes, jugés élevés, ceux des fruits et légumes ont connu également des hausses, mais restent, selon plusieurs citoyens, à la portée des prix de la tomate oscillent sur les marchés algérois entre 50 et 80 DA, alors qu’ils se situaient avant le mois de Ramadhan dans une fourchette de 35 et 40 courgette est cédée entre 100 et même à 120 DA contre 60 DA une semaine auparavant, la carotte entre 80 et 120 DA/kg et les aubergines entre 70 et 80 DA/ prix de l’oignon et de la pomme de terre sont, par contre, restés quasiment stables, et s’affichent entre 40 et 50 DA/kg. Les étals du marché de Bachdjarah affichaient, en revanche, des prix relativement abordables » et n’ont pas enregistré de hausse » par rapport à ces derniers jours, selon plusieurs citoyens rencontrés par l’ Bachdjarah, la tomate, la courgette, les carottes et autres aubergines sont cédées respectivement à 25 DA, 70 DA, 50 DA, 35 DA le kilogramme, alors que les poivrons et le concombre sont cédés respectivement à 60 DA/kg et à 100 prix des fruits ont, de leur côté, connu une hausse considérable », ce qui a rendu ces produits inaccessibles » pour beaucoup de consommateurs, estime une fruits de saison comme le raisin et les pêches sont cédés entre 150 DA et 200 DA/kg. Les prix des dattes varient, selon la qualité, entre 250 et 450 DA/kg, alors que la pastèque et le melon sont cédés à 40 DA et 80-100 da/ sur les raisons de cette hausse, les commerçants ont été unanimes » et ont affirmé que la forte demande durant les premiers jours de chaque ramadhan était à l’origine de cette flambée, estimant que les prix connaîtront une baisse dès la deuxième semaine du mois
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Envisite à la Safex où se tient l’évènement, le Premier ministre a reconnu publiquement que les prix des fruits et légumes demeurent élevés en Algérie. Mais il a soulevé un paradoxe : en dépit d’une production « abondante », les fruits et légumes ne sont pas à la portée de tous les Algériens.

Des fruits et légumes aux céréales, en passant par les huiles de table, les prix des produits alimentaires n’ont pas connu de baisse après le mois de ramadhan. Si la flambée des céréales et des huiles s’explique par une pénurie de matières premières liée à une très forte demande au niveau mondial, celle des fruits et légumes reste incompréhensible et inexplicable. Contrairement à l’accoutumée, les prix des fruits et légumes se sont envolés après le mois de ramadhan, enregistrant, en moyenne, une augmentation de plus de 30% sur les deux dernières semaines. C’est ce qu’a constaté le Jeune Indépendant lors d’une tournée dans plusieurs marchés à Alger. Dans plusieurs régions de l’Algérois, les prix sont pratiquement identiques. Le prix de la carotte enregistre un record avec 160 DA le kilo. Le piment vert grimpe à 140 DA le kilo et le prix de la courgette oscille entre 100 et 120 DA le kilo. Le concombre est le seul légume qui s’affiche en dessous de 80 DA, devant la betterave qui est à 90 DA, l’oignon 100 DA, la laitue 120 à 140 DA, les navets 120 DA et la pomme de terre qui s’affiche entre 110 DA et 130 DA le kilo. Le prix de la tomate, ce fruit hors saison, a maintenu sa tendance haussière, oscillant entre 110 et 140 DA le kilo, et ce selon la qualité du produit. Les haricots verts sont proposés, quant à eux, entre 350 et 400 DA le kilo. Les citoyens, dont le portefeuille a beaucoup souffert lors du mois sacré et de l’Aïd-el-Fitr et qui s’attendaient à un peu de répit avec la baisse habituelle de la mercuriale, ne savent plus quoi faire. Rencontré au marché de Douéra, Moundir, enseignant dans le cycle primaire, s’est dit étonné de la hausse des prix des fruits et légumes, laquelle s’est maintenue même après la fin du mois de ramadhan. D’habitude, les prix se stabilisent vers la dernière semaine du ramadhan. Mais cette année, on constate qu’après une dizaine de jours de l’Aïd, les prix sont toujours aussi élevés, et ont même augmenté», a déploré Moundir, soulignant que les petites bourses peinent à joindre les deux bouts». De leur côté, les marchands de légumes expliquent que cette flambée est plutôt provoquée par les dernières précipitations ayant empêché les agriculteurs de récolter leurs cultures ainsi que par l’absence de main-d’œuvre à cause du long week-end suivi de l’Aïd-el-Fitr, durant lequel les travailleurs sont rentrés chez eux. Les autorités compétentes, qui ont essayé de réguler et de contrôler les marchés afin de freiner cette flambée, ont autorisé les agriculteurs à vendre leurs produits en gros ou au détail directement aux consommateurs. Elles affirment notamment que ces augmentations à répétition sont dues à la spéculation. Or, cette décision annoncée au mois de septembre 2021 n’a pas donné les résultats escomptés, à savoir soulager les citoyens, confrontés à la cherté des produits alimentaires. jeune-independant / Par Mohamed Mecelti
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Lesoignons, leur prix variait entre 25 et 30 dinars le kilogramme, et les carottes entre 80 et 70 dinars, selon la qualité. Quant à la Citron son prix atteint 350 Da le kilogramme, contre 180 DA avant, la salade, son prix est de 120 dinars, les haricots verts aussi montaient à 200 dinars, contre 180 dinars le kilogramme quelques jours avant. De leurs part; les L’arrivée sur le marché des produits agricoles de saison n’est pas étrangère à cette baisse sensible des prix des fruits et légumes. Dans les marchés de Blida, qui concentre les produits des quatre marchés de gros de la région centre Attatba, Boufarik, Bougara et Les Eucalyptus, les ménagères ont en effet constaté une décrue significative des prix, notamment de la tomate 50-60 DA/kg, dont la tomate industrielle, revendue en moyenne entre 30 et 35 DA/kg. Les poivrons sont à 100 DA/kg alors que les carottes, navet et aubergine sont à moins de 70 DA/kg. La baisse la plus significative est celle des haricots blancs, vendus parfois à moins de 200 DA/kg, alors qu’en moyenne, leur prix ne descend pas au delà des 250 DA/kg. Au mois de ramadhan dernier, les haricots blancs s’étaient vendus à plus de 300 DA/kg. Même tendance baissière pour les autres types de haricots, dont celui dit ’grini », une variété de haricots rouge et blanc, vendue entre 150 et 180 DA/kg, alors que le haricot vert est cédé aux alentours des 120 DA/kg. La pomme de terre reste, quant à elle, scotchée autour des 40-50 DA le kg, mais le consommateur a le choix entre plusieurs variétés, celles d’Oued Souf ou des zones de production des régions ouest Mascara, Mostaganem, Aïn Defla…. Quant aux viandes, elles restent dans la moyenne annuelle, avec DA/kg pour la viande ovine ou bovine, alors que les prix du poulet font du ’yoyo » en raison du taux de mortalité des élevages durant la saison chaude. La décrue des prix des légumes est également constatée pour les fruits, avec une chute du prix de la pastèque à 25 DA/kg, alors que certains marchands vendent ce fruit à raison de 150 DA/pièce. La pêche est à 160 DA/kg, le brugnon et la nectarine à moins de 160 DA/kg et avec les premiers arrivages de raisin, le gros noir est vendu à 160 DA/kg. La pomme locale, assez bonne, juteuse et bien charnue est vendue cependant entre 220 et 250 DA/kg, le même prix que la poire, qui commence à entrer dans les marchés. Le melon reste, quant à lui, assez cher, entre 70 et 100 DA/kg, pour des raisons que les marchands se gardent d’évoquer, se contentant de dire que les prix sont excessifs au marché de gros. La décrue des prix des principaux produits agricoles frais avait commencé vers la mi-juin, qui avait coïncidé avec la fin du mois de ramadhan et les premières récoltes des produits de saison. En attendant les statistiques du mois de juin, l’évolution des prix à la consommation en rythme annuel avait été de 4,4% jusqu’à mai 2018, avait indiqué dans son dernier bilan sur l’inflation l’Office national des statistiques ONS. Dans ses projections, le gouvernement prévoit dans la loi de finances 2018 une inflation moyenne de 5,5%, soit une hausse généralisée des prix, et, surtout, un des effets directs du recours au financement non conventionnel, une trop grande masse fiduciaire en circulation sans contrepartie. En termes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont enregistré, selon l’ONS, une hausse de 3,7%, dont les prix des produits agricoles frais, qui ont augmenté de 6,4%. Globalement et durant le mois de mai dernier, il y a eu des hausses assez remarquables pour les légumes +15,1%, les fruits +9,6% et la viande blanche +6,8%. Par contre, certains produits alimentaires frais ont affiché des variations négatives, principalement les œufs -5,2% et le poisson -8,3%. Lesprix des fruits et légumes en Algérie ont connu une forte hausse à quelques jours de la fête de Aid el-Adha. Le constat est d’autant plus perceptible que les étals des marchés de détail des fruits et légumes en Algérie sont bien achalandés. Si l’offre est supérieure à la demande, rien ne milite cependant pour un marché clément. En témoigne la mercuriale, pratiquement
Temps de lecture estimé 45 secondes Les marchés des fruits et légumes connaissent une flambée remarquable ces dernières semaines en Algérie. C’est ce qu’annonce l’APS après avoir constaté une envolée de produits tels que les oranges ou les pommes, entre autres. Cette augmentation serait due, selon un des commerçants approchés, à la mise-en-avant de produits hors-saison. Les fruits et légumes cultivés sous serre exigeant plus de moyens, ceux-ci voient leurs prix augmenter de 200% pour certains. Ainsi, les pommes locales peuvent atteindre 200 DA/kg, malgré une qualité moyenne. Les oranges 160 DA/kg ou bien les haricots verts 500 DA/kg. Demeurent certains produits tels que les artichauts, les fèves ou les carottes dont le prix n’a pas bougé. Une très mauvaise nouvelle pour un bon nombre de citoyens qui comptent principalement sur ces marchés pour remplir leurs stocks. Un marchand interrogé sur place par l’APS précise même que ces prix ne risquent pas encore de baisser. Rappelons que la période du Ramadan qui se profile, ne présage de surcroît, aucune amélioration à ce niveau. Related Tagsflambée des prix fruits & légumes algériefruits & légumes algérie
Plusieursspéculateurs profitant de l’afflux des citoyens sur les marchés des fruits et légumes et les produits de large consommation en raison de la propagation de la pandémie du coronavirus en Algérie, ont fait monter les prix de deux, voire trois fois plus le prix réel des produits. En effet, en plus de la panique créée par le coronavirus, les citoyens sont choqués

Plusieurs spéculateurs profitant de l’afflux des citoyens sur les marchés des fruits et légumes et les produits de large consommation en raison de la propagation de la pandémie du coronavirus en Algérie, ont fait monter les prix de deux, voire trois fois plus le prix réel des produits. En effet, en plus de la panique créée par le coronavirus, les citoyens sont choqués par la flambée des prix de plusieurs produits de large consommation. Une flambée causée principalement par les spéculateurs qui voient dans la conjoncture actuelle une opportunité pour le gain facile. Aussi, les citoyens qui se ruent vers les centres commerciaux, créent des pénuries qui engendrent des hausses dans les prix. Et ce, juste après l’annonce par le gouvernement des mesures préventives contre la propagation du virus Covid-19. Comme on peut le constater sur les plus grands marchés de gros, plusieurs fruits et légumes ont vu leur prix doubler, voire tripler comparativement à la vielle. D'autres ont connu une augmentation de 20 à 50 dinars sur le marché de détail, notamment les produits les plus prisés comme la pomme de terre, qui est passée de 35 dinars sur les marchés de gros pour atteindre 75 dinars le kilogramme. La spéculation des uns et la ruée des autres A noter que le prix d'un kilogramme de poivron a atteint 150 dinars le kilogramme au prix de gros, alors qu'il ne dépassait pas les 100 dinars deux jours auparavant. C'est le même topo avec différents légumes comme la carotte qui a atteint les 50 dinars, la courgette dont le prix de gros affiche 60 dinars. Il faut dire aussi que même les légumes secs ont connu la flambée, enregistrant des hausses variant entre 10 et 30 dinars pour chaque kilogramme. Par ailleurs, l'Association pour la protection et l'orientation du consommateur et son environnement APOCE a mis en garde les vendeurs contre la spéculation des prix des produits de large consommation et des denrées alimentaires. Son président, Mustapha Zebdi, a appelé à des sanctions sévères contre tous ceux spéculent sur les prix en Algérie. Il a par ailleurs invité les consommateurs à ne pas créer la pénurie en gardant leur calme et en faisant leurs courses comme à leurs habitudes. Lire aussi Alerte Tebboune annonce de nouvelles mesures contre le Coronavirus

Du12 au 18 novembre 2017, en Algérie, les prix de la pomme de terre, l'oignon sec, la courgette et la datte au niveau des marchés de détails et Le défi pour le gouvernement est de permettre au citoyen de passer un Ramadhan sans qu’il soit dépouillé de son des chiffres dont se gargarisent nombre de responsables du secteur sensible qu’est celui de la consommation, qu’en est-il réellement sur le terrain, sur la hausse des prix constatée sur les marchés, pour le citoyen lambda qui se démène pour finir» décemment le mois? Qu’en est-il aussi à quelques semaines du Ramadhan qui se caractérise par une consommation effrénée de produits alimentaires comme prélude» aux dépenses qui l’attendent pour la fête de l’Aïd El Fitr?L’Office national des statistiques ONS atteste que l’évolution des prix à la consommation, en rythme annuel, a été de 4,6% jusqu’à mars 2018. Il faut savoir que l’évolution des prix à la consommation en rythme annuel est le taux d’inflation moyen annuel calculé en tenant compte des 12 mois précédents par rapport à la même période la loi de finances 2018 prévoit une inflation de 5,5%, les prix ont, quant à eux, subi diverses augmentations comme la variation des prix à la consommation en mars 2018 qui a été de 0,8% par rapport au mois précédent. En termes de variation mensuelle et par catégorie de produits, les prix des biens alimentaires ont connu une hausse de 1,4% en mars 2018, comparativement à ceux de février titre d’exemple, les prix des produits agricoles frais ont curieusement enregistré, en cette période de cueillette, une hausse de 2,9%, induite par l’augmentation des prix des légumes +18,5%. A un degré moindre les prix des viandes rouges +0,4% et du poisson +1,9% ont grimpé. En revanche, certains produits agricoles» ont affiché des baisses, notamment le poulet -2,3%, les fruits -2% et la pomme de terre -1,7%. Mais, selon l’ONS, les produits agroalimentaires ont été marqués par une relative cette période printanière et grâce à la disponibilité des produits, les prix des fruits et légumes au niveau du marché de gros des Eucalyptus Alger demeureront stables durant le mois de Ramadhan, a avancé, rassurant et confiant», la semaine dernière, le directeur général de l’Etablissement de gestion des abattoirs et de la poissonnerie d’Alger, Rédha dernier, qui effectuait une visite de travail et de contrôle sur les lieux, en compagnie de membres de l’Assemblée populaire de wilaya APW, aux abattoirs de Ruisseau et auprès des grossistes des produits alimentaires de Gué de Constantine Semmar et de l’espace réservé à la construction d’un nouvel abattoir à Baraki, a précisé que le problème de la rareté ou de la cherté» des fruits et légumes ne se posera pas au niveau du marché durant le mois de Ramadhan, car il intervient en pleine saison de cueillette des fruits et de récolte de légumes. Les prix baisseront avant de se stabiliser, a-t-il commerce des fruits représente la majeure partie de l’activité du marché de gros Eucalyptus visité qui est l’un des meilleurs au niveau national en termes de gestion, de sécurité et de respect des règles d’hygiène», a indiqué Attab, assurant que ces produits seront disponibles durant le mois de Ramadhan au niveau de ce hub» d’approvisionnement qui a ouvert ses portes en 1994 sur une superficie de 6,4 un mot, selon les propos mêmes du président de la Commission économique et financière de l’APW d’Alger, Zoubir Saïdi, cette visite visait à s’enquérir des préparatifs en prévision du mois de Ramadhan afin de lutter contre la spéculation, par la sensibilisation des commerçants et autres opérateurs». Il s’est félicité du fait que les grossistes des produits alimentaires de Semmar aient été très réceptifs» à cet appel. Saïdi a regretté que les prix augmentent parfois de 120% après leur sortie du marché de gros des produits alimentaires de Gué de Constantine Semmar, en raison des dépassements de certains détaillants. Il a préconisé l’adoption de mécanismes de contrôle rigoureux des prix des produits à leur sortie du marché de gros et de leur codification, ainsi que le contrôle de la chaîne de distribution pour préserver la stabilité des prix au service du citoyen».Les responsables du commerce ont réagi à cette situation en annonçant, par la voix du coordonnateur du bureau d’Alger de l’Union générale des commerçants et artisans algériens Ugcaa, Sid Ali Boukrouche, l’ouverture comme chaque année de marchés de la rahma» pendant le mois sacré. Pour leur lancement, quatre espaces seront répartis sur les communes de Baraki, Birtouta, Rouiba et Bab Ezzouar. Ils permettront aux citoyens de se pourvoir en denrées alimentaires, fruits et légumes, viandes, volaille et fromages à des prix concurrentiels». S’agissant des viandes bovines et ovines, Merouane Kheïr, chargé de l’organisation au bureau exécutif de la viande et produits carnés de la wilaya d’Alger, a, lors de cette visite, appelé le citoyen à ne pas acheter de la viande en grande quantité durant les premiers jours du mois sacré pour éviter une augmentation des prix causée par une forte demande. Il a également indiqué que le prix de la viande de mouton est fixé en fonction de la qualité du mouton local et oscille entre 1000 et 1300 DA, alors que le prix de la viande bovine est de 1050 DA et 1100 DA, selon la qualité. Il précisera que le coût de la viande importée est de 950 Nouvelleflambée des prix des fruits en Algérie. La banane, la poire, les fraises, les figues, les pommes sont inaccessibles pour les moyennes et les petites bourses. La fraise est à 400 dinars, la banane se vend entre 700 et 1000 dinars le kilo, les raisins à plus de 280 dinars, les figues à 750 dinars sur certains marchés.

Accueil > ECONOMIE > Le marché des fruits et légumes en Algérie peu mûr Les prix des fruits et légumes s’annoncent chers pendant le ramadhan en Algérie ce qui confirme encore une fois la fragilité de l’agriculture algérienne. Les prix des fruits et légumes vont connaître une hausse sensible en Algérie au cours des prochains jours. Cela n’est pas uniquement dû à la spéculation qui accompagne l’arrivée du mois sacré du ramadan, mais aussi à la fin des récoltes. Il s’agit surtout des marchés qui s’approvisionnent de la Mitidja et des régions avoisinantes. Cette annonce a été faite par les représentants de l’UGCAA Union générale des commerçants et artisans algériens. Présent à ce point de presse, le gérant d’un marché de gros dira que la fin des récoltes dans la région nord de l’Algérie va indubitablement conduire à la hausse des prix des légumes. Les fruits ne sont pas concernés, en attendant que la production des Hauts-Plateaux vienne en appoint. Il a aussi été souligné que cette situation ne concerne pas la pomme de terre. Des stocks suffisants sont disponibles », a-t-on précisé. Le conférencier a voulu lever l’ambiguïté sur les prix appliqués au niveau des marchés de gros des fruits et légumes en Algérie. Les vendeurs au détail se cachent souvent derrière cet argument pour justifier les prix qu’ils pratiquent », a-t-il été souligné. A titre d’exemple, il a été mentionné qu’au marché de gros actuellement, la courgette se vend à 35 DA, la tomate entre 15 et 20 DA, le mange-tout à 45 DA, l’oignon à 15 DA. L’orateur a rappelé que les prix sont libres. Ce n’est pas de notre faute si le commerçant décide d’une marge bénéficiaire de 200 %. Il appartient au citoyen d’adopter une conduite d’achat responsable, de manière à bouder les produits dont les prix sont démesurément augmentés, rappelle-t-on. Relancé par les journalistes sur la régulation des prix, le représentant des marchands de gros rappellera que les prix des fruits et légumes en Algérie sont libres. Il n’en demeure pas moins, qu’anciennement, le marché obéissait à une règle. Il s’agit du cœfficient de multiplication selon l’éloignement. Cet instrument définit le prix du produit chez les grossistes. Pour la marge bénéficiaire des vendeurs finaux, cette dernière était fixée à 25 % pour les légumes et à 30 % pour les fruits. Les représentants des commerçants et artisans prévoient aussi la coutumière hausse des prix durant les 3 ou 4 premiers jours du mois de ramadan, avant que la situation ne revienne à la normale. Par Mourad, le Soir d’Algérie

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